.« Petits crimes conjugaux » d’Eric-Emmanuel Schmitt.
Mise en scène Henri Thomas. Cie Les Rataffias.
Avec : Erik Lachaud, Béatrice Lacoustille
Un joyau d’écriture, plein de rebondissements, une pièce ponctuée de coups de théâtre, où il faudra attendre la fin pour découvrir la vérité.
Un homme a reçu un choc sur la tête et se retrouve dans l’appartement d’une femme qu’il ne connaît pas, et qui est néanmoins son épouse.

.« Petits crimes conjugaux » d’Eric-Emmanuel Schmitt.
Mise en scène Henri Thomas. Cie Les Rataffias.
Avec : Erik Lachaud, Béatrice Lacoustille
Un joyau d’écriture, plein de rebondissements, une pièce ponctuée de coups de théâtre, où il faudra attendre la fin pour découvrir la vérité.
Un homme a reçu un choc sur la tête et se retrouve dans l’appartement d’une femme qu’il ne connaît pas, et qui est néanmoins son épouse.

Sortant d’un vinyle de la motown, en catillac et chemise psyché, I wonder est un spectacle sur l’univers de Stevie Wonder. Les arrangements soignés des grands Hits des seventies par quatre musiciens avec le groove dans le sang font déhancher à coup sûr l’auditoire dans la bonne humeur.
Dance, clap your hands, shake your hips, un flash back qui propulse dans les
années d’or de la funk où il serait probable de croiser Jackie Brown.
Avec :
Cyril Pico, Florie Kaplan, Cyrille Lefranc, Guillaume Brocard

Huit femmes bien assez nombreuses pour créer une intrigue où les faces cachées des personnages sont mises en lumière, où la stratégie devient faiblesse, où
l’amour un homme, frère ou mari, évolue au fil du temps, où l’intéressement prend le pas sur la relation humaine, où les enfants découvrent leurs parents, où les bonnes n’ont rien à envier aux servantes de Molière.
D’après l’œuvre de R. Thomas et le film de F. Ozon, le Théâtre sous la dent se glisse dans ce jeu de dames où se mêlent secrets, humour, rebondissements, violence.
Des comédiennes dynamiques, étonnantes, jouant avec sincérité.

Huit femmes bien assez nombreuses pour créer une intrigue où les faces cachées des personnages sont mises en lumière, où la stratégie devient faiblesse, où
l’amour un homme, frère ou mari, évolue au fil du temps, où l’intéressement prend le pas sur la relation humaine, où les enfants découvrent leurs parents, où les bonnes n’ont rien à envier aux servantes de Molière.
D’après l’œuvre de R. Thomas et le film de F. Ozon, le Théâtre sous la dent se glisse dans ce jeu de dames où se mêlent secrets, humour, rebondissements, violence.
Des comédiennes dynamiques, étonnantes, jouant avec sincérité.

Disparu tragiquement en 1956, à 25 ans, Clifford Brown demeure pour l’éternité l’un des plus grands trompettistes de jazz, tant pour sa virtuosité et ses extraordinaires inventions mélodiques que pour ses compositions. Une disparition prématurée qui a bouleversé les jazzmen de son temps : fauché en pleine gloire, on eut vite conscience de l’immense perte que représentait celle de ce musicien en train de
révolutionner le Bebop… Sa manière de jouer a marqué pour toujours ceux qui le suivirent.
Lors de cet hommage, Rubinho Antunes jouera des thèmes du légendaire musicien ainsi que le fameux « I remember Clifford », écrit juste après sa mort et qui devint vite l’un des standards parmi les plus enregistrés. À l’écoute, l’on mesure combien ce jeune homme était aimé et apprécié de ses pairs… S’il avait pu poursuivre son chemin, jusqu’où aurait-il emmené ses compagnons ?
Avec également :
Rubinho Antunes, trompette
Joachim Expert, piano
Laurent Courtois, contrebasse

La Fiancée Animale ne mâche pas ses mots. Elle malaxe leurs rythmes et se joue de leur sens.
A double voix, elle en fait des résonances qu’elle incorpore dans son paysage sonore. Elle explore une électro-artisanale qui l’entraîne aux abords de la transe.
Sa musique palpite aux sons des machines et entremêle les sons de ces trois là :

Val.b : chant, tambour, cymbale ;
Valgo : chant, claviers, looper, tambour ;
Erwan Flageul :guitare, basse, ukulélé, sampler.

https://linktr.ee/lafianceeanimale

En référence à l’Alcazar, ce duo Marseillais de Chanson Francophone va en étonner plus d’un de par son originalité artistique et son Humanité.
Créé il y a 20 ans suite à la rencontre de Viviane Cayol et Jean-Yves Liévaux, leurs textes, leurs musiques écrits et composés par l’une ou l’autre, leur complicité universelle touchent au cœur.
Les professionnels ne s’y trompent pas et dès leurs débuts les institutions (programmateurs culturels et/ou de festivals, les Instituts Français, les Alliances Françaises) auront le plaisir de présenter ces deux merveilleux artistes créateurs d’émotions fortes aux publics divers dans toute les communautés Francophones, aussi bien en France qu’en Europe, au Québec, Canada, États-Unis …
Le blog d’Alcaz : http://blog.alcaz.net/