Kinkin est accordéoniste, le pauvre…
Depuis bientôt trente ans, il s’use les phalanges sur la nacre artificielle de son piano à bretelles, se bousille les épaules et chante de surcroît.
Il voue un culte bizarre à Yvette Horner et verse dans le surnaturel. Cette dernière lui aurait donné pour mission de sauver le monde en se sauvant lui-même de l’oubli.
Ours blanc sur la banquise du musette et de la chanson française qui fond à vue d’oeil… tendez donc l’oreille à son chant du cygne.
PLEASE GOD SAVE THE KINQUEEN !
Patrick Zambon : texte, chant, accordéon
Yoan Barnaud : son et lumières